Savoir que l’on n’est pas seul
"Acro-méga-lie. Il m’a fallu pas mal de temps avant de simplement pouvoir
prononcer ce
mot correctement. Imaginez-vous devoir l’expliquer à d'autres personnes
alors que vous-
même n’en savez pas beaucoup sur le sujet."1
"Lorsque c’est vraiment difficile pour moi, je lis des choses sur la
souffrance d’autres
patients atteints d’acromégalie. Je me rends compte que je ne suis pas
seul : il y a d’autres
personnes qui me comprennent et qui savent ce que je ressens, et ça, ça
aide."1
"Le personnel soignant doit absolument être mieux informé sur
l’acromégalie. Pas
seulement à travers des manuels scolaires, mais aussi en étant proche
des patients
touchés par la maladie."2